La Sacem salue un de ses membres : Christophe Héral, récompensé pour le prix de la meilleure musique originale du jeu vidéo Rayman legends (Ubisoft) aux Game Paris Awards 2013

Une nouvelle récompense pour une musique originale dans un jeu vidéo

C'est la première fois qu'un membre de la Sacem reçoit un prix dans le domaine du jeu vidéo. A l'occasion des Game Paris Awards 2013 qui se tenaient le mercredi 4 décembre à Paris, l'auteur compositeur Christophe Héral a reçu le prix de la meilleure musique composée pour le jeu Rayman Legends (écouter la bande son) édité par Ubisoft avec laquelle la Sacem a conclu plusieurs accords.

Sociétaire de la Sacem depuis plus de 25 ans, Christophe Héral est connu et reconnu pour ses nombreuses compositions. Il a, entre autres, créé des musiques pour l'image :

• courts-métrages, grand prix et prix de la meilleure musique originale au festival du cinéma d'animation français de Bruz en 2011 pour La douce, nominé aux Césars en 2012 pour La queue de la souris,
• longs métrages, L'Île de Black Mór, Kérity, la maison des contes, mention spéciale du jury au festival d'Annecy en 2010,
• jeux vidéo, Beyond Good and Evil, Rayman Origins, Tintin et le secret de la Licorne.

En juin 2013, l'orchestre national de Montpellier a joué une pièce commandée à Christophe Héral, La Contrebasse voyageuse.

Cette French touch rayonne aussi à l'international, Christophe Héral a été nominé au Gang Award à San Franscisco au printemps 2013 pour la musique originale du jeu Rayman Legends. Les Game Paris Awards 2013 ont été l'occasion de réaffirmer et de souligner les qualités et innovations artistiques de la création numérique française : le jeu Rayman Legends ayant également reçu le prix du meilleur jeu pour console.

En dehors de ces belles récompenses, Christophe Héral est un homme curieux et passionné de toutes les cultures, de toutes les musiques et collectionne les instruments de musique.

Citation : " La démarche est la même, qu'on compose pour un orchestre ou un jeu vidéo, on se retrouve seul face à une page blanche. C'est d'abord la composition qui compte, après je m'adapte pour la forme. Le but est de nourrir l'image, qu'elle soit linéaire ou interactive. "
Christophe Héral